Déesse lunaire, qui protège camille qui est sa sorcière puis sa prétresse. elle emmène ses sujets dans des folles chasse lors de la pleine lune. elle semble avoir comme concurente dame corneille.

Croyez-vous au monde parallèle ? comment pensez-vous que l'on y accède ? venez découvrir l'histoire de l'un de ces mondes parallèle et des ses quatre royaumes qui le cindent. venez découvrir l'histoire de la vie de quatre populations qui vont s'entrecroisé et évolué parallélement les uns envers les autres. entrez dans l'histoire de deirdre

Nous sommes les soeurs d'artigo: mi-humaine, mi-fae ex-agents de l'agence de renseignement d'outremonde. ma soeur camille est une bonne-méchante sorcière avec trois maris magnifiques. delilah est un chat garou à deux visages et une fiancée de la mort. et moi? je suis un vampire, mariée à une puma garou magnifique. comme la guerre en otherworl

Mes citations préférées: * "les sorts de déguisements, ou de camouflage, ne représentaient pas spécialement de difficulté, du moins pour une sorcière de la lune moyenne. me connaissant, il existait toujours une probabilité pour que je fasse tous capoter [...]" camille d'artigo1 * en parlant de la remise/appartement des garçons : "de temps

Adonia : belle szabolcs : solide aleksander: défenseur piotr : roc czeslaw: soldat en campagne ael : ange superbia: orgueil avaritia: avarice luxuria: luxure ira : colère gula: gourmandise invidia: envie acedia : paresse

Je met ce blog en pause car même si j'adore toujours autant démonica, l'envie de faire ce blog n'est plus le même que quand je l'avais commencé et surtout le peu de monde qui viennent le visité ne me motive pas alors désolé pour ceux qui viendrons.

Résumé : lore est un demi-démon seminus qui a été forcé de devenir l’assassin de son maître. désormais, pour gagner sa liberté et sauver la vie de sa sœur, il doit accomplir un dernier meurtre. puissant et impitoyable, il ne s’arrêtera devant rien pour mener à bien sa mission. idess est un ange, chargée de protéger l’humain que

Des pas qui se rapprochaient. ses pas qui se rapprochaient dans ce bruit si caractéristique de ses chaussures à talonnettes. la peur monta en moi. encore. cela ne se finirait donc jamais. je fermais les yeux, je ne voulais pas voir son visage, si beau, mais qui me faisait tant peur, qui était si déformé par la haine et le vice. je connaissais